• X-Men: Days of Future Past - Bryan Singer

    La Carte de Fidélité Gaumont offre des places le jour de notre anniversaire, et ça tombait puisque la veille sortait le dernier X-Men, que j'attendais impatiemment après la demi-déception The Wolverine. L'occasion était donc trop belle pour ne pas passer à côté.

    X-Men: Days of Future Past - Bryan Singer

    photo found @ deviantart.net

     

    Pour commencer, il convient de préciser ici, que j'ai vu ce film en VOST 3D, et ces deux éléments sont plutôt importants. En effet si la 3D ne semble pas toujours utile, elle permet de rendre épique certaines scènes, telle que que le combat de début ou les pouvoirs de Magneto. Quant à la V.O. elle est plus que nécessaire, puisque une partie de l'histoire se déroulant à Paris lors des Accords de Paix suite à la guerre du Viêt Nam, les personnages vont parler anglais, vietnamien et français.

    J'avoue que tout ce que je connaissais de l'histoire de cet épisode est qu'il faisait intervenir du voyage dans le temps. En effet on se trouve au début du film dans un futur incertain, avant que Logan soit renvoyé en 1973.
    De ce fait les événements principaux se déroulent entre First Class et X-Men, et ne permettent pas une immersion rapide dans l'action, puisque l'on cherche à se rappeler de ce qu'il s'est passé, et pourquoi les personnages sont ce qu'ils sont à ce moment-là. Si cet effort peut être un barrière à l'entrée pour certain, cela peut également permettre de s'impliquer plus dans le film.

    L'opposition déterminé en début de film entre Trask et les mutants ne semblent pas être la confrontation la plus importante, mais c'est plutôt celle entre les mutants eux-même. En effet, je ressens ce film comme un film sur la rédemption, et les conséquences de nos choix. En ce sens, les 4 personnages principaux soit Logan (Jackman), Charles (McAvoy), Erik (Fassbender), et Raven (Lawrence) ont chacun des storyline basée sur les décisions qu'ils ont eu, ont ou auront à prendre.

    Ceci est servi par une réalisation inspirée sans être flamboyante, et des acteurs qui n'essaient pas d'en rajouter plus que ce leur personnage demande.
    Le film arrive également à doser correctement humour, action et réflexion.

    En ce qui concerne le screentime réduit d'Omar Sy dont on parle, oui il en peu, mais plus qu'Halle Berry ou Anna Paquin (environ 5 secondes), et ça reste dans des scènes assez classes il faut l'avouer.

    En résumé satisfait de ce qui a été proposé, et impatient de voir la suite.

     

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